C’est difficile de répondre à ces questions car l’architecture SIG est conçue au cas par cas et il existe d’innombrables problématiques.
De manière générale, dès que les utilisateurs du SIG (ou un script) interviennent sur la donnée par traitement (modification, suppression, ajout de géométrie, d’attribut, statistique), le SGBD comme PostgreSQL / PostGIS est presque indispensable.
Un serveur cartographique utilisé seul sert plus pour diffuser et consulter la donnée via les protocoles WM(T)S et WFS par exemple.
La combinaison des deux composants reste pour moi le meilleur moyen pour créer des interactions entre les utilisateurs et les données.
Qu’en pensent les géomaticiens?