Créer une architecture SIG depuis la base de données jusqu’à l’interface de WebMapping demande d’analyser les besoins finaux des utilisateurs :
- Ces derniers interviennent-ils sur la donnée géographique par différentes opérations (création, modification, suppression) ou est-ce simplement une consultation des couches SIG?
- La mise en place de requêtes sur les géométries spatiales ou les données attributaires jouent un rôle important dans la structuration du SIG (Requêtes en backend ou en frontend).
- La problématique de diffusion des données doit également être considérée (Protocoles HTTP, API).
A titre d’exemple, prenons le cas de la création d’une interface de WebMapping créée avec OpenLayers sur laquelle chaque membre enregistré peut intervenir sur une couche SIG.
Le contenu de cette vidéo est réalisé :
- soit avec la mise en place d’un serveur cartographique de type GeoServer.
- soit sans avoir recours au serveur.
Et pourtant les résultats avec l’enregistrement des opérations sur les couches SIG dans la base de données sont identiques dans les deux situations. Et de même, il est tout à fait possible de diffuser les data géo spatialisées, certes via des procédés différents mais toujours avec les normes et standards définis par l’Open Geospatial Consortium.
Par conséquent, avant de s’engager dans des heures de travail ou des milieux d’euros d’investissement, il est indispensable de définir les besoins réels, les outils à mettre en place et les évolutions futures de vos projets SIG.
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